Sujet: (F) KAREN GILLAN. libre. Sam 17 Sep - 11:55
leopoldine eliott fisher
21 ans ★ américaine ★ lesbienne ★ YOU ONLY LIVE ONCE ★ étudiante en fac de science avatar non négociable ★ pseudo difficilement négociable LibreRéservéPRIS
CONCERNANT SON HISTOIRE : elle doit être née ici, à San Francisco. Si vous souhaitez qu'elle soit originaire d'ailleurs, c'est à votre guise, mais elle doit avoir sa vie ici. Je la verrais bien écossaise, une tornade rousse pareille ne peut pas bien venir d'ailleurs. Je pense qu'elle aurait eu une enfance heureuse vu la façon dont elle est épanouie aujourd'hui. Vous pouvez cependant faire ce dont vous avez envie tant qu'elle ressemble à la jeune femme que je décris dans le scénario. Elle n’est ni très riche ni très pauvre. Juste ce qu'il faut. Le reste est libre ; je m'engage toutefois à vous donner des info supplémentaires si vous le souhaitez. Elle possède un prénom français, le même que sa grand-mère côté paternel qui était une française exilée en Irlande. je tiens beaucoup à ce prénom. QUELQUES INFORMATIONS EN VRAC : durant le lycée, elle a été une véritable peste, elle était très populaire et beaucoup de personnes la détestaient : elle n'a jamais souffert de cela - elle est très excentrique et ce qu'elle fait, elle le fait d'abord pour elle - elle fait des études de chimie dans le but de faire de la recherche, même si elle n'a pas vraiment le niveau aujourd'hui - elle adore le sport, elle est presque hyperactive - c'est une jeune fille frivole et qui na pas peur de grand-chose - elle fait beaucoup la fête et tient très bien l'alcool - elle n'a jamais touché à la drogue et n'en a pas du tout envie - elle est exclusivement lesbienne ; après mainte tentative avec des hommes, elle en est certaine.
S. Ginger McAllys
Dans un premier temps, Ginger a simplement été la prof de Leo : la jeune étudiante avait décidé d'intégrer l'université de San Francisco où elle avait toujours grandi et qu'elle ne souhaitait pas quitter à cause de ses amis etc. Elle qui n'avait jamais été très attentive à un cours et qui avait difficilement obtenu son diplôme de fin de lycée, avait décidé de vraiment s'y mettre. Évidemment, elle est restée très frivole et n'a pas pris ses cours de première année au sérieux. Ce n'est qu'en rentrant en deuxième année qu'elle a rencontré Mlle McAllys, sa professeure de chimie attitrée. Faire sa rencontre a tout de suite motivée Léo puisque l'enseignante semblait vive et prête à tout pour aider ses élèves. Elle s'est difficilement mise au travail, mais grâce à l'aide de Ginger a réussi une deuxième année tout à fait convenable. Elles en sont même arrivées à acquérir une certaine complicité et à prendre des contacts même si Ginger a toujours mis un point d'honneur à garder ses distances. l'année précédente année, Leo rentrait en troisième année et gardait Mlle McAllys en tant que professeur. Sauf qu'au beau milieu de l'année, du jour au lendemain, la femme en qui elle avait toujours eu foie et admiration est devenue froide et distante. Elle s'est mise à manquer des cours, à fondre en larme parfois. Beaucoup de rumeurs circulant à propos de l'enseignante : son mariage avait été subitement annulé, elle était seule désormais ... Leo a cherché à comprendre mais seule, n'a rien réussi à trouver. Ce n'est qu'un soir où elle a pris son courage a deux mains et à demandé à Mlle Paper de tout lui raconter. Dans un élan de faiblesse, qu'elle lui a avoué avoir appris qu'elle était stérile et que ça l'avait détruite. Laissant ses principes de côté, elle a accepté de boire un verre avec Léo. Cette dernière l'a raccompagnée chez l'enseignante. Seulement, attendrit par cette histoire et l'alcool qui lui avait monté à la tête, au moment de se quitter, l'étudiante embrassa Ging'. Elles ont finit dans le même lit, s'offrant une nuit torride (Ginger n'avait jamais couché avec une fille et encore moins avec une étudiante). Depuis cette nuit, Ginger continue à donner les cours à la jeune femme même si ce n'est plus tout à fait pareil. Et malgré ses principes, elle cède de plus en plus souvent à la tentation. Elle est de plus en plus dépendante à la jeune étudiante et cela lui fait beaucoup de mal. Léo qui ne se soucie pas vraiment des autres d'habitude et est aussi très perturbée face à cette attention qu'elle porte à la belle Ginger.
ps ; un extrait de ma fiche concernant Léo.
Spoiler:
so tell me when you're gonna let me in i'm getting tired and i need somewhere to begin
Tout en annonçant la fin du cours, je m'installais derrière mon bureau et immédiatement, me plongeais dans les quelques papiers qui traînaient encore. Quelques devoirs supplémentaires et des essais d'élèves. Je me laissais bercer par le doux bruit des fermetures éclairs et du papier qui se froisse ; bruit de fond habituel lorsque les élèves quittaient l'amphithéâtre. J'avais l'habitude de ne pas effacer mon tableau contrairement à certains de mes collègues afin de laisser la chance à certains de combler leurs retards ; ainsi, il était fréquent que certains de mes élèves restent un peu après la fin des cours. Ces gosses étaient toutes ma vie maintenant ; alors même si notre réputation voulait que nous soyons tout à fait détaché d'eux, nous les profs, je ne pouvais pas faire autrement que ce que je faisais aujourd'hui. Je laissais en général un petit quart d'heure passer ; mais aujourd'hui, quelques minutes seulement après la fin du cours, je vis qu'on glissait un petit papier jaune sur mon bureau. A peine avais-je relevé la tête que l'inconnu s'était déjà éclipsé, je n'eus que le temps de distinguer une tignasse rousse sortir de l'amphithéâtre. Je soupirais ; ça ne pouvait être qu'elle ... Je jetais quelques regards inquiets autour de moi, mais heureusement, personne ne semblait avoir remarqué son geste. Je pris le soin de fermer la porte par laquelle la jeune fille venait juste de sortir et dépliais finalement le bout de papier. Ce soir, 22h30, chez toi. - Ta favorite. Elle adorait signer nos petits échanges par ta favorite, comme une véritable concubine. Avant même de penser à l'erreur que j'allais faire d'aller la retrouver, je laissais un petit sourire éclairer mon visage ; j'adorais cette délicate attention de sa part. Comme je le faisais toujours, j'attrapais mon briquet et mis immédiatement le feu au papier, l'admirant se consommer. La petite flamme n'eut même pas le temps de virer au bleu comme elle le faisait parfois tant le morceau était petit. Et puis, je visualisais son visage. Son petit nez, ses merveilleux yeux et les courbes si parfaite de son corps. Pour une des premières fois, je n'eus aucun remord à désirer ma propre élève.
(…)
Encore essoufflée et sous le coup de l'excitation, je me laissais lourdement tomber sur le lit, étalant par la même occasion tous les membres de mon corps douloureux. J'étais déjà exténuée, mais ma soirée avec Léo n'avait rien arrangé. Je finis par ramener un peu les couvertures sur moi. Non pas que j'avais froid. Mais plutôt par pudeur. J'avais beau connaître Léopodine depuis quelques temps, je ne me faisais toujours pas à l'idée que ... Nous couchions ensemble.« A quoi tu penses ? » Me souffla-t-elle à l'oreille. Je soupirais ; je devais me retenir de ne pas fondre devant son adorable voix. Bon dieu qu'elle pouvait me faire de l'effet. Je tournais légèrement ma tête vers elle pour lui adresser un petit sourire. Elle n'avait aucun complexe elle ; ni de coucher avec sa prof ni de se montrer nue à une autre femme. Je l'admirais : elle vivait pleinement sa vie elle au moins. En même temps, elle était jeune, elle n'avait pas vécu grand-chose. Pas autant que moi. Je la laissais ôter une petite mèche de mon visage pour finalement caresser doucement ma joue. « A toi. A ... A nous deux. » Murmurais-je. Je la vis se raidir soudainement. « Oh non pas ça ! Pas que ce soit mal ... Euh non je veux dire ... » Elle coupa net mes paroles en écrasant sa bouche sur la mienne. Délicatement, sa langue avait forcé l'accès à ma bouche et je m'étais laissée faire. Je m'étais laissée aller à ses gestes experts. Très - trop - rapidement, elle se détacha de moi pour fourrer son regard dans le mien. « En quoi y aurait-il du mal à ça ? » Je détournais mon regard du sien, impossible de le soutenir. Je n'étais pas d'accord avec elle. Je n'avais pas à me laisser aller. Je n'en avais pas le droit ; je pouvais perdre mon job du jour au lendemain et c'était tout ce qui me restait. « Pardon ... » Elle avait presque dix ans de moins que moi et pourtant, c'était elle que je respectais le plus. Je me tournais et fis mine de m'installer pour dormir. Évidemment, Léopoldine ne lâcha pas l'affaire. « Eh ! Te vexe pas Gin ... Je déteste te voir triste ... » Elle posa sa main sur mon épaule nue. Prenant soudain conscience du réconfort qu'elle pouvait bien m'apporter, je posais ma propre main sur la sienne puis entrelaçait nos doigts.
Il me semblait que depuis que j'avais appris ma stérilité, Léopoldine avait toujours été là. Le bruit avait vite couru à l'université qu'il m'était arrivé quelque chose ; et aussi bien du côté des profs que de celui des élèves. J'avais annulé subitement mon mariage, chose très inhabituelle. Elle était une de mes élèves et elle m'avait forcé à lui donner des cours particuliers ; certainement pour le voyeurisme d'abord, puis elle était devenue une amie et une complice prête à tout pour me remonter le moral. Et puis, nous avions franchi les limites ; les miennes d'abord puisque je m'étais découvert une attirance pour la gentes féminine. Et puis les limites, simplement, parce qu'elle restait et resterai pour quelques années mon élève.
« Tu ne crois pas qu'il faudrait passer à autre chose Ginger. L'oublier. » J'eus envie de fondre en larme. A chaque fois que je pensais à Émile maintenant, j'avais envie de chialer. Enfin, puisque je le recroisais régulièrement à l'Université, il m'était forcé de penser à lui. C'était plutôt quand je repensais à nous. A notre foyer. Je secouais la tête contre l'oreiller agrippant maintenant avec force la main de mon amante. Une petite larme réussit à m'échapper et vint mourir sur la couette. Non je n'avais pas envie de passer à autre chose. Je me sentais encore incapable et trahie. Trahie par ce corps qui était le mien. Les seule fois où il m'était fidèle c'était lorsque les mains de Léo me parcouraient. C'était là que je pouvais me sentir vibrer. « Je suis là mon ange. Ma douce ... » Cette fois et pour la première fois, mes larmes coulèrent à flot devant la jeune fille. Je me retournais sous les draps et, me fichant désormais bien de mon corps découvert, je me lovais contre son corps nu. Qu'aurais-je été sans elle tout ce temps ? Qu'aurais-je été si je m'étais interdite de dépasser les limites ? Je me considérais comme un monstre de continuer à coucher avec elle. Mais, pouvais-je simplement faire autrement ? Pas pour l'instant, elle était la seule à me faire être fière de mon corps de femme. L'unique. A cet instant, je songeais à Émile ; avait-il refait sa vie avec une autre femme ? Cette autre attendait-elle l'enfant tant désiré ? M'avait-elle remplacé dans son coeur ? Je chassais l'image du jeune homme sur le pas de la porte le soir de notre séparation et plongeais mes mains dans les cheveux de la jeune étudiante comme pour me prouver qu'elle était bien là.
Bonjour jeune padawan, bonjour toi qui t’intéresse ou non au scénario, ça, c'est ton affaire ! Mais si tu lis ces lignes c'est certainement parce que mon scénario t’intéresse. Et pour cela, je t'en remercie. EC - si le scénario vous intéresse jetez-vous quand même dessus
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