Priscadorya Heidrun Baylen

« Notre unique spécificité individuelle réside en ceci : dis-moi ce qui te dégoûte et je te dirai qui tu es »

Priscadorya Heidrun Novembre Aliénor Baylen, enchantée. Oui j’ai compris et je vous comprends, pas besoin de regard lasse ou de froncement de sourcils : appelez-moi Prisca. Hum bien, les vingt-et-un ans me narguent, mais je n’ai pas peur de l’âge, ce n’est en fait qu’une case de plus dans laquelle nous sommes rangés. Pour continuer, je pense utile de préciser que mes origines sont autres qu’Américaines, je viens de Russie, mais je suis certaine que vous aviez déjà reconnu mon accent et mon Anglais raturé. Pour être exacte, et puisque vous mourez d’envie de le savoir, je suis née un jour brumeux dans une chambre d’hôtel de Vladivostok. Ma mère était une grande adepte des chambres d’hôtel. Elle avait dénigré les soins médicaux (comme elle le fit pour moi dix ans plus tard) et accoucha ce premier Novembre de l’année 1990. Vous l’aurez compris, je parle donc le Russe, ainsi qu’un Anglais approximatif. J’ai quelques mots Français et Allemands, mais je suis secrètement passionnée par le Suédois – qui a dit par les Suédois ? Pour continuer mon monologue, appuyé par vos regards inexpressifs, j’ajouterai être attirée par les hommes. Les filles sont bien mignonnes mais imaginer une relation durable avec une nymphette m’est impossible : j’ai beaucoup trop de respect pour ces épousées. Je suis célibataire depuis une ancienne, très ancienne histoire, ne m’en parlez pas. Je ne cherche ni un chien, ni une nymphette, ni un homme, mais j’avoue être preneuse quand il s’agit de votre garde-robe. En parlant chiffons, je travaille en tant que chargée de communication pour Gap inc. Corporate et passe mes journées libres en tant que designer styliste freelance. J’ai choisis le groupe ‘You only live once’, parce qu’il fallait en choisir un. J’ai bien répondu ?

★ De ses yeux bleus, l’étrangère tire un charme envoutant presque inquiétant. Mystérieux comme à son image, ils s’agitent de gauche à droite, entourés de longs cils peints de noir. C’est ce détail qui n’en est finalement un, qui attire premièrement les regards chez son entourage. Et c’est, chez Prisca, de cet endroit que les peines viennent s’abreuver, dans ce grand océan blanc construit de souvenirs, qu’ils soient bons ou mauvais. Les yeux sont les fenêtres de l’âme ? La principale intéressée en est persuadée. Un regard peut tout dire, annoncer une bonne nouvelle comme une moins bonne. Dire je t’aime, ne m’oublie pas, reviens me voir demain. Dire au revoir, et ne reviens jamais. On peut taire des phrases mais l’on n’efface pas un regard. C’est un fait, et le contredire serait absurde. Qui retient ses larmes est effrayé d’affronter une réalité, une vérité. Qui ferme les yeux souhaite oublier.
★ Priscadorya n’est certainement pas la plus tatouée des demoiselles, mais elle compte en son actif quelques créations qui viennent charmer sa peau neige et ses maigres courbes. Se dessine alors de part et d’autres de ses hanches des ailes plus ou moins dites de chauve-souris, rappelant la célèbre enseigne d’un des groupes qu’elle chérie tant. Son poignet gauche est quant à lui assiégé d’une croix sobre et noire. Du côté opposé et plus bas cette fois, vient se nicher au creux de son sein droit une phrase qui suivant sa lancée se poursuit contre les côtes de l’étrange créature. Angels lie to keep control, soyez défendu de lui demander l’origine des dires. La demoiselle est également ornée d’un piercing en forme de croix, encore, au nombril. Prisca sait pertinemment qu’un beau jour elle craquera et qu’alors dans son dos sera peint une quelconque allégorie à la mort.
★ La Russe porte une passion exceptionnelle pour la musique. Mais pas n’importe qu’elle musique. Non en fait, seule la Musique, la vrai musique - avec un grand M comme Metallica ? Détestable ennemie des musiques ‘à la mode’, elle avoue ne pouvoir écouter Lady Gaga, Rihanna ou toutes autres personnes fâcheusement connues et terriblement banales. Ces musiques à la portée de tout le monde, commerciales et vides de sens. Son bonheur existe par des groupes moins connus et bien moins abordables, des chansons saisissantes qui expriment une émotion retranscrite le plus exactement possible aux personnes touchées par ces belles chose. Et ce qui elle la touche, est simplement et magnifiquement ce style musical appelé metal, et dans toutes ses extensions. (Là, vous êtes sensés imaginer la groupie bas résilles et t-shirt In Flames.)
★ Ses passions s’avèrent en fait multiples, après la musique et la mort, vient à son tour la mode. (Puisqu’il ne faut en citer que trois.) La mode, un bien grand mot pour si peu et pourtant tellement. Pas cette mode que l’on suit, mais cette mode unique qui caractérise chacun, ce détail qui fait que l’on sait parfaitement si cette robe est signée Chloé ou Versace. La mode ne suit pas la norme, et celle qui habille Prisca en est l’exemple même. Adepte du noir et de la dentelle, du transparent, des jeux de matières, elle marie le luxe et le vintage à mains de maître et ajoute toujours ce détail qui fera de sa tenue, une autre encore plus parfaite. Elle aime mixer les tendances et les ethnies, les couleurs sombres aux roses fluo, se voulant tantôt excentrique, tantôt mesurée.
★ Mademoiselle Baylen, aussi sage soit-elle, montre d’elle-même qu’elle n’a pourtant aucunes limites. Ce fut prouvé en amour, mais la vérité se déploie également en autres matières. Et c’est cette absence de murailles envers soi-même qui a causé ces cicatrices qui martèlent sa peau bien moins lisse maintenant. Ne la poussez pas au bout, c’est vous qui tomberez. Entrez dans sa danse, c’est elle qui vous fera valser.


Le corps n’est ni plastique ni machine, et malgré ses allures de poupée barbie, un cœur bien vivant, lui, se cache au côté gauche de la jeune fille. De celui-ci ressort ce qu’on appelle plus couramment caractère. On ne peut pas moins en dire, la demoiselle est diablement secrète. On la trouve alors méfiante, si méfiante que sa confiance est un cadeau des plus rares. Mais toute personne comprends qu'on ne fait confiance qu'une fois. Qu'on ne s'offre entièrement qu'une seule et unique fois.

Sous ses airs de reine des glaces, une grande séductrice sommeille pourtant. Et il peut arriver de voir Prisca aimante, tendre et tant d’autres. La demoiselle est également décidément réfléchie, terre à terre. Sûre d’elle, elle a son opinion des choses, des personnes, et son avis est marqué dans le marbre, elle le dit inchangeable.

Sous ces adjectifs héroïques, se terre pourtant la véritable Priscadorya, la Priscadorya qu’on ne connait pas et que de toute de toute façon, nous n’aimerions pas connaître. Autodestructrice, s’il fallait donner un mot pour la qualifier. Une fois tombée dans cette profonde spirale, elle ne peut s’en sortir et s’enferme donc dans sa tour d’ivoire. La princesse devient plus solitaire encore qu’elle ne peut l’être à son habitude et se cloitre dans cette cage de solitude qui, elle le sait, finira par la tuer. C’est également pour cette raison qu’elle ne veut plus aimer, car en s’enfermant elle tirerait l’autre dans ses sillons, et sa perte serait tout aussi douloureuse que celle d’un moustique écrasé contre une fenêtre de voiture. Etroitement liée, sa passion pour la mort ne la rend que plus dangereuse. Mort : état définitif d’un organisme biologique qui cesse de vivre. Mort. Fin d’une histoire, dernière page d’un livre, dernière réplique d’un film, dernier point de couture, dernière blessure d’un corps. Mort, lente danse d’un être guidé par son destin, courbé par la charge de son passé, effectuant des pas légers brisés par la vieillesse, l’argent, la jalousie, le désespoir, la solitude. L’amour. Finale arabesque avant la chute. Mort, aussi bien nommée soit-elle, reste inconnue et attire les plus curieux, ou dans notre cas, les plus curieuses.

La blonde dénigre l’autorité, le pouvoir. Selon elle, le pouvoir nuit. Le pouvoir est sombrement attirant, mais rarement, oh vraiment rarement, utilisé dans un sens positif. Les puissants nous guident, nous dirigent pour finalement nous influencer. Nous sommes faibles, tant qu’il y a une carotte, l’âne suit. Pauvre est le nombre de personnes qui dans notre société, telle qu’elle est conçue, osent se révolter. Tout passe par la violence, et pour se faire entendre, la seule solution encore utilisée est la peur. Mais poser une bombe à tel ou tel endroit n’est pas à la portée de tout le monde, et la puissance est un dérivé de la peur. On ne dit que rarement non, oui je ferais si, oui j’adore ce que tu as fait, oui je suis heureuse. Non.. Non je ne comprends pas ? Non je ne partage pas tes idées, non je ne partage pas tes envies ? Non je ne suis pas heureuse, non, je n’ai pas confiance, et Prisca finirait par leur crier la vérité, sa vérité.

résumé




Mr. Et Mrs. Baylen, fraichement mariés, rêvaient du sacrement ultime, de la concrétisation suprême de leur amour. C’est donc naturellement que la naissance du bébé eu lieu, sous la joie des nouveaux parents. C’était une petite fille, de taille moyenne et plutôt fine pour un bébé. Elle hérita des yeux bleus de sa mère et du sourire angélique de son père. Ses cheveux blonds appartenaient quand à eux à sa grand-mère maternelle. On l’appela Priscadorya. Priscadorya Heidrun. Étonnant mariage des cultures nordiques et américaines. Priscadorya, si bien nommée, poursuivit son enfance sans grand problèmes. Bien sûr, elle avait ses histoires de petites filles, mais il faisait bon vivre à Moscou. Elle apprit la langue de son pays et celle de son père, les coutumes Russes et Américaines. Mais rien n’est éternel, et c’est après une dispute interminable que Mrs. Baylen fit rapatrier Mr. Baylen dans son pays. Le père avocat obtint la garde de sa fille, jouant de sa place pour gagner le procès. Les foudres de la famille Von Swarzkya s’abattirent sur Mr. Baylen, et entre les deux familles, une guerre insensée éclata. L’ex Mrs. Baylen, honteuse, sa fierté entachée, renia sa fille qui lui rappelait trait pour trait son père et la laissa rejoindre New York dans les bras de celui-ci, redevenant ainsi une Von Swarzkya. Erick Baylen aimait sa fille, mais son travail était malgré tout plus important. Des jours durant il l’oubliait, la laissant seule chez elle avec pour seule garde la domestique de la maison. Prisca s’en sentait orpheline. Elle avait perdu sa mère, et son père n’était plus jamais là.

C’est à l’âge de 14 ans que la jeune fille innocente tourna pour devenir bien moins pure. Les fêtes, l’alcool, la drogue. Elle était jeune, c’était de son âge. Abandonnée dans son palais d’argent, elle flânait aux bras des plus méritants, enchainant galas de bienséance et soirée à thèmes. C‘est à cet âge également qu’elle connut son premier amour. Il s’appelait Alexandre, et était originaire de France, un brun aux allures méditerranéennes. Elle l’aima comme elle n’aima jamais personne. Prisca mua princesse, elle régnait du haut du royaume de ses rêves. Mais bientôt ses espoirs d’amour éternel fanèrent. Il lui avait promis l’infini, lui avait dit qu’il n’était pas comme les autres. Bercée par ces douces illusions, peu à peu elle se perdait, se laissant aller dans les bras de celui qu’elle pensait sien. Elle en oubliait le monde, il n’y avait plus que lui, lui seul qui hantait son âme. Elle s’abandonna contre lui, pour ne pas le décevoir elle lui donna tout. La moindre parcelle de peau de leur corps se complétaient, ils ne faisaient qu’un, une seule personne et pourtant des envies bien différentes. Elle le trouva quelques jours plus tard couché près d’une autre jolie blonde.

Anéantie, trahie mais toujours amoureuse, Prisca se referma sur elle-même. Petit à petit, un masque noir prit part sur son regard et vint couvrir sont visage. Noyée dans cette mer de désillusions, elle n’avançait plus, échouée sur le bord elle sentait les navires passer devant elle, sans même les regarder. Alexandre l’avait brisée mais il avait également renforcé ses défenses. Épaisses murailles, elles ne laissaient plus passer aucune expression. Elle restait maintenant secrète, gardant ses émotions et ses pensées pour son être seul. Il lui avait apprit la méfiance, chose qu’elle n’accordait maintenant plus. Elle vivait avec, elle vivait pour être. Ou pour ne pas être comme eux. Ne pas être comme ceux, ne pas être de ceux pour qui le mensonge est un dieu. Sa force prend part de son talent pour cacher sa tristesse. Elle s’en servit une nouvelle fois. Son existence était des plus fades, et noyée par les présents de son père, elle se trouva une passion en la mode. Elle apprit peu à peu tous les secrets des plus grandes aux plus petites marque. Les mensurations des modèles Brésiliens, Italiens, Français ou encore Suédois lui étaient connues. Elle rencontra les plus grands par l’aide de son père et gagna de l’assurance, du savoir. On lui enseigna le dessin, si bien que son carnet de croquis l’accompagnait dans toutes ses promenades. Bien sûr elle fit quelques photos, belle et fraiche elle ravissait les photographes qui applaudissaient sa taille élégante et ses gouts déjà bien prononcés. Ses études en étaient toutes dessinées, elle ne se voyait autre part que dans la mode.

Et puis, la jeune fille qu’elle était encore il y a quelques années grandit. Et se renferma sur elle, une fois de plus. Elle ne semblait plus secrète, elle l’était. En Prisca, une empathie pour l’humanité entière se profila. Elle n’aimait pas les gens, ces stupides êtres qui un jour vous font souffrir. Elle devint hautaine, méchante et dangereuse. Dangereuse pour les autres, mais terriblement plus pour sa personne.

Prénom/Pseudo : Morgan. Âge : 16 ans pratiquement. Célébrité sur l'avatar : Polina Kouklina. Personnage : Inventé. Code du règlement : pouplette dit oui Comment avez-vous connu le forum ? Par un ami. Autres commentaires ? Hiiiiiii. *-*

Priscaaaaaaaaa Bienvenue sur le forum (Ici William )
Si tu as des questions, le staff est à ta disposition

Comme une autre personne tente pour Abbey Lee, ce sera à la meilleure fiche. Si jamais tu préfères chercher un autre avatar n'hésite pas à demander de l'aide

Mon amour, mon ange...
Heureux de voir que tu nous rejoins mais tu me l'as dit il y a quelques minutes par mp.
Donc bonne chance pour ta fiche.

Bienvenue sur le forum !
Et excellent choix d'avatar. Je sais que c'est toi qui le remportera.

Bienvenue

Bienvenue parmi nous

@Ezra C. Fletcher: Will.. Ezraaaaaa!
Merci, pour l'instant ça devrait aller, mais j'hésiterai pas.

Oh mince pour Abbey, il me reste combien de temps pour faire ma fiche? Non parce que je voulais prendre mon temps, mais du coup. J'arrive te demander de l'aide.


@Émilie-Ambre C. Delyse: Hiiii, jolie demoiselle raïe. Merci pour tes encouragements, je vais faire au mieux chéri.


@Adrian et Gabrielle: Merci beaucoup, ça m'encourage à écrire.

PRISCAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA.
Je sais pas si t'avais pu lire mon discours ? T'étais dedans. Mais ils l'ont sûrement enlevé avant.
Gniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiih.

Et l'autre Abbey n'a pas terminé, donc t'en fais pas, t'as du temps. D'ailleurs j'crois qu'à elle il lui reste deux ou trois jours. *-*

Citation :

Prisca, ça me désole de ne pas avoir été assez présente pour qu'on puisse terminer au moins un rp, vu notre lien tropfortdelamortquituetout, et parce que pour le peu qu'on a pu discuter, j'te trouve vraiment sympa.

Voilà ce que tu avais dit Toffee, c'est dans la corbeille.

Priscadorya H. Baylen a écrit:

@Adrian et Gabrielle: Merci beaucoup, ça m'encourage à écrire.

Alors je te souhaite un bienvenue infiniiiii pour que tu écrives pleiiiins de choses !!

Émilie-Ambre C. Delyse a écrit:

Citation :

Prisca, ça me désole de ne pas avoir été assez présente pour qu'on puisse terminer au moins un rp, vu notre lien tropfortdelamortquituetout, et parce que pour le peu qu'on a pu discuter, j'te trouve vraiment sympa.

Voilà ce que tu avais dit Toffee, c'est dans la corbeille.

Bordel, t'es partout à la fois. XDDD Mais merci. Et ça manque de smilie mais voilà.

AWE, Christopher. CRISTOPHERRR. Hiiiiiiiii. *-* Hey mais je suis trop contente.
Roh, non, en plus j'étais partie en vacances, quand je suis revenue j'ai rien compris. Ca m'a fait tout bizarre quand même, c'nul.
Bon, pour Abbey je vais me bouger.. ><

EDIT: Ohhh. On se refera un lien tropfortdelamortquitue avec obligation de finir un rp. (Merci Emilie. :3)
Edit²: Adrian, tromignon, rien que pour ne pas te décevoir je vais écrire.

J'adore ton "bordel, t'es partout à la fois".
Disons que je l'ai cherché la dernière fois, et je suis rapide assez souvent donc trouvé en quelques secondes attends.

Je te fais confiance ma M chérie pour faire une jolie fiche, car tu es l'une des meilleures.

Tu m'fais fondre.

Own.
Et bien, je vais tout résumer: je t'aime.
(Romain, non, lâche-moi, c'est pas ce que tu crois, ahhh ! ).

Flood off, sinon, j'aurai la fessée.

(Haha, j'irai pas le répéter. )
Jet'aimeaussimaischut.

Bienvenue

Merci beaucoup Julie.

Bienvenue parmi nous

Merci beaucoup Chase, plus qu'à être validée.

30 ans plus tard, j'avais oublié de venir poster ici
C'était juste pour te prévenir qu'on t'avait pas oublié et qu'on attendait juste que le délai de 3 jours donné à l'autre personne tentant Abbey soit écoulé pour pouvoir te valider. Mais donc demain soir normalement ça sera fait, voilà

Ah d'accord, merci de m'avoir prévenue, je croise les doigts pour demain soir.

Désolée pour l'attente. J'aime toujours autant ton style d'écriture.
J'en ai profité pour valider ton code du règlement au passage.


validée !
Pense à aller rapidement réclamer ton logement et ton emploi ! De plus, n'hésite pas à jouer aux jeux, à flooder un peu et à te connecter sur la chatbox pour apprendre à connaitre les autres. En bref, bienvenue de façon officielle sur The City By The Bay ! Si tu as la moindre question, tu peux contacter le staff. Pense également à voter pour le forum de temps à autres, dont une première fois en cliquant ici, merci.
Bon jeu !

Ohh merci beaucoup Gabrielle. J'avais vraiment peur de pas avoir Abbey pour le coup.