MAËLYS AARON SPENCER.
« LOVE SUCKS. » | Je m’appelle Maëlys Aaron Spencer, j’ai vingt ans, je suis né le 6 août 1991 à New-York. Je suis bisexuel – et j’emmerde les anti-pédés – je fais parti des « Kiss and Tell ». Je ne poursuis plus d’études depuis environ un an, car je travaille pour un créateur de mode en tant que mannequin depuis plusieurs mois déjà, et l’école ne m’attire plus. Je parle Anglais, Français et Espagnol. Ce sont les villes que j’ai visité le plus de fois durant ma jeune et donc les seules villes pour lesquelles j’ai envie de bosser et dans lesquelles j’ai envie de montrer mon parlé. |
★ Ma première particularité ? Je ne la baserais pas sur un tatouage ou un piercing, je dirais plutôt je suis particulier. J’aime tellement de choses particulières qu’à la fin, je suis égal à la particularité. Je ne suis pas exceptionnel, je suis unique en mon genre. Il y a de cela 5 mois, je foutais mon sexe dans n’importe quel trou, je baisais n’importe qui sans le moindre scrupule, et maintenant, la seule personne que je vois, c’est Carter. Comme première particularité, je pourrais dire qu’une personne a réussi à me changer du tout au tout.
★ Ma deuxième particularité pourrait être ma hantise envers le sport. Je déteste tous les sports, qu’ils soient avec un ballon, des raquettes, s’il faut courir, peu importe, je déteste. Mon père me disait tout le temps que je finirais obèse, que je serais un légume sans muscle à force de ne rien faire. Actuellement, pour mon métier, je suis bien obligé de m’entretenir, alors je fais de la musculation et je cours environ 30 minutes chaque jour.
★ Mon amour pour les tatouages est une particularité qu’on m’a beaucoup de fois reprochée. En effet, lorsque je tentais autrefois des entretiens d’embauche, une fois que je stipulais que j’avais un tatouage derrière l’oreille, les gens étaient réticents et préféraient arrêter tout contact avec moi. Depuis, je n’en ai plus un mais deux. L’autre représente un « C » calligraphié, au niveau de l’aine. Si je compte en refaire d'autres ? Disons que j'aimerais un refaire un en commun avec Carter, quelque chose qui symboliserait notre union, mais je ne sais pas s'il a assez confiance en moi, s'il est assez amoureux pour ça, personne ne sait.
★ Mes phobies bizarres pour la plupart ou trop prononcées pour certaines sont une de mes particularités vraiment étranges. Je suis pour commencer, claustrophobe, je ne supporte pas l’enfermement. J’ai également la phobie, très fréquente mais putain d’horrible que l’on qualifie d’arachnophobie. Les araignées sont vraiment des bêtes HORRIBLES. Une phobie plutôt folle est celle que je me suis découverte il y a peu : les pieds. J’ai peur des pieds, je trouve ça vraiment répugnant, écœurant.
★ Cinquièmement, je mettrais peut-être en avant mon besoin d’écriture. J’ai sans arrêt avec moi, un espèce de petit journal de bord. Je m’y attèle très souvent, pour ne pas dire tout le temps. Dès que quelque chose se passe, je cours l’écrire. Cependant, pour écrire, j’ai toujours besoin d’entendre une musique douce, triste dirais-je même. J’ai toujours ce besoin de devoir me sentir affaibli, seul et triste pour écrire du plus profond de mon âme.
Je n’ai pas le caractère le plus idéaliste qu’il soit, je sais me montrer courtois… non, c’est faux, je ne sais pas être poli du moins pas très longtemps, je reprends trop vite mes bonnes vieilles habitudes et mon langage quelque peu irrité et vulgaire. Baiseur, bagarreur, prêt à faire n’importe quoi pour un grain de coke, je ne sais pas quels sont mes limites… je pense d’ailleurs que je n’en ai aucune. Je n’ai pas de limite, je suis simple d’esprit, je n’aime pas le luxe. J’aime bien avoir des difficultés pour pouvoir les surmonter, les dépasser, me surpasser moi-même. L’argent, ça aide beaucoup, certes, j’ai les moyens, mon père à une chaine d’Hôtel internationale. Soit. Cependant, l’amour d’un père est plus fort que l’argent. Avoir grandit sans un père, sans mère, car étant morte, elle ne pouvait pas m’aimer comme le prétendait les gens qui voulait me rassurer. Toutes les conséquences que cela ont porté sur mon caractère, c’est juste que je suis exécrable, je suis imbuvable, je me drogue pour oublier, je fume, je bois tous les samedis, je passe des soirées dans les pubs. Arrogant, manipulateur je n’aime pas me laisser marcher sur les pieds, cependant, j’ai quelques qualités aussi, oui, je suis intelligent car oui, la manipulation ne va pas sans l’intelligence. Je suis populaire, et riche, je suis toujours propre sur moi, et bien habillé, je suis assez bien foutu, je dois l’avouer. Oh, tout ce que je dis là, m’amène vers un nouveau de mes défauts. Je suis extrêmement prétentieux, j’aime bien me montrer, montrer ma richesse. Limousine, chauffeur, je joue dans la cour des grands, je ne joue pas aux petites proies. Quand j’arrive, on me respecte, j’aime diriger, j’aime draguer. Je ne respecte guère les femmes, je suis égoïste. Pourquoi est-ce que je suis comme ça ? Si j’ai un fond gentil ? Et bien, à vous de me le dire. J’étais tout ce qu’il y a de bon avant. Je dis bien avant, mais pour m’arracher des confessions, on va devoir être sacrément proches
résuméJe suis né le 6 août 1991, j’ai vécu une enfance difficile, bien que bercé par l’argent, j’ai manqué d’un père et d’une mère. Ma mère est morte alors que j’avais 15 ans. J’ai commencé à toucher à l’alcool, à la drogue et à la clope à ce moment-là. Je suis quelqu’un de franc, et j’aime l’honnêteté. Je ne suis pas quelqu’un d’aimant, je ne regarde pas l’amour dans les yeux, je lui plante plutôt un couteau dans le dos… du moins, c’est ce que je revendiquais avec ma rencontre avec Carter. Ce gros nounours avec qui je forme un couple depuis 5 mois environ. C’est pour lui que j’ai quitté mon New-York.
Il était une fois...
Conçu dans une voiture, à l’arrière précisément, j’ai passé une enfance assez heureuse. Père très souvent absent, mère qui passait son temps à faire les magasins plutôt que de s’occuper de moi. Je considère plutôt ma nourrice comme ma mère. Initié très vite au sortie en public, à voyagé à travers le monde. Une maison à peu près partout dans le monde, j’ai toujours été où je le voulais, il me suffisait juste de demander à ma mère, et bien évidemment, ma nourrice chérie m’emmenait. Mon père n’était jamais à la maison, il me manquait horriblement, mais j’ai toujours apprit à vivre sans lui, à grandir sans l’amour de ce père dont je n’avais même pas conscience qu’il était le mien. Richissime, j’ai toujours eu ce que je voulais, depuis tout petit. J’ai toujours été très mal à l’aise quand j’allais à l’école, car j’y étais constamment conduit en limousine. Mon père à toujours déployé les grands moyens, il a toujours donné le maximum d’argent à mon sujet, en croyant que les plus grandes écoles, les plus beaux jouets, les plus belles fringues pourraient remplacer l’amour que je désirais de sa part. Il n’a jamais comprit et ne comprendra plus jamais. Un jour, alors que j’étais en plein contrôle de mathématiques, j’étais alors en classe de troisième dans un collège qui en l’occurrence était parisien et se trouvait près de mon lieu de résidence, pour ne pas que je me perde – je changeais de collège tous les trimestres, et si vraiment j’avais le mal du pays, mes parents voulaient bien que nous prenions le billet retour pour New-York – on vient alors me chercher en pleine interrogation écrite. Deux hommes habillés de noirs, me prirent un bras chacun et l’un des leurs, qui se trouvaient avec eux, parlait avec ma prof de maths qui semblaient choquée par ce que l’homme lui disait. Vous n’avez pas encore deviné ? Ok, je lâche le morceau. Ma mère était morte. Tout cela, n’avait pas eu de graves séquelles, mise à part ma tristesse, certes, et celle de mon père car bien sur, nous l’aimions tous les deux, malgré ses absences. Apprendre à vivre sans elle, ça allait être tout nouveau.
Apprendre à vivre sans elle, c’était une putain d’épreuve. Je ne savais pas comment j’allais faire, bien qu’elle ne fût que très rarement là, avec moi à la maison, elle me manquait. La, j’apprenais à grandir, à me développer sans l’amour maternelle, sans la confiance d’une mère, sans la fierté d’une maman qui vous regarde partir à l’école, le cartable sur le dos. Grandissant seul, avec un père toujours absent, je ne savais pas comment faire, comment gérer ce manque d’amour parental qui m’envahissait. Comment réagir face à la détresse qui se manifestait ? Je n’en avais aucune idée. Après l’accident de ma mère, je n’avais pas voulu voir de quelle façon elle avait fini, je ne voulais pas voir dans l’état qu’elle était, malgré l’effort que mon père me demandait de faire. Le chantage affectif, il n’y a qu’à ça qu’il marchait ce connard. Après l’accident de ma mère, j’ai commencé à dealer, à acheter de la beuh pour ma consommation personnelle, puis ensuite, j’ai commencé à la fumer avec des potes, pour enfin finir par leur vendre ce qu’ils voulaient. Je me faisais de plus en plus d’argent et eux devenaient de plus en plus accrocs à ce que je leur vendais. Cette drogue qu’ils achetaient, c’était de la vraie merde, moi je ne la fumais même pas, je n’avais jamais osé, cependant eux, ils y allaient tête baissée pour noyer leurs soucis qui devenaient sois disant mirages, grâce à cette belle merde. Depuis sa mort, je faisais n’importe quoi, je devenais une vraie loque, un dealer, j’ai violé une fille alors que je n’étais pas encore majeur, elle non plus, par bonheur, du moins, non pas par bonheur, mais si j’avais été majeur, j’aurais été passible d’être emprisonné. Ce viol m’a couté ma conscience et mon amour propre, que je fais mine d’entretenir, bien qu’il soit déjà mort depuis. J’ai commis un vol à main armé qui a été un véritable échec. Je suis arrivé dans le bureau de mon père armé et masqué, le fait est que j’avais oublié d’enlever mes chaussures, cousues à ma demande, j’étais donc le seul à les avoir, et ayant assuré la promotion quelque peu mondiale de cette paire de chaussures unique, mon père les avaient vues, et donc m’avait reconnu et avait rit de moi. Je me rendais souvent chez un psychologue, bien sur financé par mon très cher père. Les séances se ressemblaient toutes. Toujours la même chose, les mêmes questions, les mêmes larmes qui bordaient mes yeux, et les mêmes silences qui empêchaient ma voix de sortir. J’étais si fatigué, si désemparé. Démarche assurée et rebelle, dans la rue, quelques mois c’était passé après le décès de ma mère. Les obsèques avaient été grandioses, bien qu’étant tristes, beaucoup de monde était venu pour rendre un dernier hommage à ma maman. Je me rendais une fois par semaine au cimetière. J’étais pour ainsi dire, très lié à ma mère, nous nous aimions énormément. Qui a dit qu’on pouvait aimer une fille plus qu’on aime sa mère ? J’aimerais bien connaitre cette personne, car moi, je n’ai jamais aimé autant que j’ai aimé ma mère, et ce dans tous les cas d’amour que j’ai connu. Je n’en connaitrais d’ailleurs plus jamais, je l’espère. L’amour ne se contrôle pas, il ne se cherche pas, il vous tombe dessus, et il ne vous quitte plus.
Dans la rue, à l’âge de mes seize voir dix-sept ans, je commençais à prendre de l’assurance, à changer de style, du petit garçon très chic, j’étais passé au jeune rebelle, la clope au bec, la veste en cuir et les ray-ban sur les yeux, les journalistes de presse pour jeunes s’arrachaient mes apparitions qui finissaient pour la plupart du temps en scandale. Sortie de première partie, arrivée en boite, sortie de boite complètement défoncé et bourré, les journalistes de presse adoraient ça, et moi, j’adorais l’idée que mon père tombait sur ses magasines et j’aimais aussi le fait que son image à lui en prenait un coup. J’étais milliardaire, je n’avais plus besoin de travailler, pourquoi je devrais encore aller à l’école ? Un nouveau conflit avec papa, j’adore, c’est vraiment un de mes passe temps favoris.
Les conflits avec mon père alimentaient ma vie, ils alimentaient tout ce qui servait à mon orgueil, à mon amour propre, à la confiance que je me porte. Ça parait assez loufoque ce que je dis, certes, mais, c’est bel et bien la vérité. Soit. Tout cela n’a pas duré longtemps, dès que j’eus mes dix-huit ans, je suis partit pour faire un tour dans le monde entier, pendant tout un été, puis, jusqu’à l’hiver. En revenant à New-York, je revis bien évidemment mes amis, mes meilleurs amis, ceux que je n’avais pas perdu de contact. J’aurais aimé que certains d’entre eux puissent me suivre, venir avec moi faire ce tour du monde, et non le vivre en solitaire. Tout ceci m’a bien sur permit de me retrouver avec moi-même, de faire le point sur qui j’étais et de pouvoir faire un break avec toute ma vie new-yorkaise. Mon père me versait de l’argent tous les mois, il faisait beaucoup de choses pour moi, pour que j’arrête bien sur mes scandales, et que j’arrête d’être disponible pour la presse, que j’arrête d’être une proie facile pour les photographes de presse. Moi, j’aimais bien. Mon style vestimentaire avait beaucoup changé aussi, et mon père n’approuvait pas du tout ce que je devenais. Moi vingt-deux ans, lui bientôt cinquante, il était toujours resté dans son époque costard cravate et rien d’autre. J’aurais aimé partager des choses avec lui, sincèrement, mais il ne me tendait jamais une perche, il ne faisait rien pour que l’on puisse apprendre à se connaître, apprendre à s’aimer. Souvent, je traîne le soir dans les bars, je me laisse allez, je bois, je fume, je me prends des cuites complètement horribles, à ne plus pouvoir bouger, à vomir partout.
J’ai connu quelques histoires de flirt, de cœurs, cependant, j’ai connu une histoire d’amour, celle qui me fera détester les femmes plus que tout, celle qui me rendra le plus égoïste des hommes, celle qui fera de moi peut-être un enculé de première, mais ma foi, j’assume. En bref, je suis sorti avec une fille au lycée, elle était d’une beauté rare, une gentillesse extrême, et j’en ai d’ailleurs encore l’eau à la bouche en y pensant. Le sexe était présent dans notre relation, qui fut de courte durée, un mois tout au plus. Pourtant, j’appris, ce qui fut la cause de notre rupture, que tout n’était qu’un pari pour elle, puis elle disparu. Depuis, je ris des femmes, je m’amuse d’elles, mais y’en a-t-il seulement une qui pourrait me redonner confiance en elles, humains du sexe opposé ?
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