KYLE SERGUEÏ ALLINGTON
« Ne rien savoir est dangereux. En savoir trop, aussi » | Mon nom est Kyle Williams. Kyle Sergueï Nollan Alexander Allington pour être précis. Je suis né le mardi 23 août 1985 à 9h45 dans la belle ville de Moscow en Russie. Je suis un amoureux de la vie et j’aime aussi bien les femmes que les hommes depuis récemment… Je fais partit des HAPPILY EVER AFTER. Je suis entouré de mon frère et de ma sœur à qui je ne cache rien et qui ne m’ont jamais jugé sur mes choix. Je les aime plus que tout. Je parle l'anglais, le français et le russe qui est la langue de mon pays d’origine. |
★ Kyle est quelqu’un de croyant. Ses parents lui ont appris à l’être. Ainsi tous les soirs avant de dormir, il remercie le seigneur pour la vie qu’il a.
★ Depuis peu il s'intéresse aussi aux hommes
★ Kyle est ambidextre.
★ Le rêve de Kyle est de fonder une famille.
★ Kyle a l’habitude de boire plus d’un litre de café par jour. C’est sa drogue et il en est conscient.
Traits de caractère : Un ange, un démon. Le caractère de Kyle est très variable. En effet, celui-ci change d’humeur comme de chemise et passe du rire aux larmes. Il est quelqu’un de très difficile à cerner au premier regard. Tentant de développer un caractère lunatique depuis son adolescence, il n’a aucun mal à surprendre son entourage. Les touches d’originalités qu’il apporte à chaque conversation, l’étonnement qu’il leur inspire mais aussi la spontanéité dont il fait preuve font de Kyle un jeune homme au charisme débordant. Il ne manque jamais une occasion de s’amuser et de faire la fête. Il a souvent été considéré comme le joyeux luron de la bande, celui vers qui on se tourne lorsqu'on a besoin de rire et de se détendre. Il est l’homme indispensable pour passer une bonne soirée. Toujours quelques blagues en tête, des mimiques et des manies toutes plus surprenantes les unes que les autres, il a su devenir quelqu’un d’unique en son genre. Cette originalité est malheureusement la source de beaucoup de jalousie, et Kyle a dû apprendre à faire la part des choses, surtout entre ses amis. En effet, plus jeune, il n’était pas naïf et crédule mais il donnait sa confiance assez facilement et redonnait toujours des secondes chances aux personnes qui l’entouraient. Il était le genre d'homme qui croyait en la bonté humaine, un humaniste dirons-nous. Mais après de nombreuses disputes et de nombreuses trahisons, il a appris, et grandit. Ses amis, il les a séparés en deux catégories. Il fait donc la différence entre les copains, et les amis. C’est une petite chose insignifiante pour les autres mais pour lui, elle a beaucoup de valeur. Ainsi, il aura toujours dans ses connaissances un cercle très restreint d’amis, auxquels il se confiera, auxquels il donnera sans compter de son temps et de son argent, ils seront ceux avec lesquels il partagera le plus. Et de l’autre, les bon copains. Ceux avec qui, il passera du bon temps, avec lesquels il sortira et s’amusera mais sur qui il ne comptera jamais. Il ne leur demandera jamais rien, mais leur donnera tout de même une once de confiance, le bénéfice du doute comme on dit. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, Kyle, même s’il fait une telle différence dans les personnes qu’il côtoie, est loin d’être le genre d’homme à se servir des autres. Il n'est pas manipulateur pour un sou. Lorsqu'âgé de 17 ans, est entré à l’université, il s'apaisa et réapprit à devenir sérieux et respectueux. Il devait travailler pour réussir. Bien que fêtard et blagueur, cela n'empêche qu'il sait se monter romantique lorsqu'il est amoureux.....et qu'il veut bien se l'admettre. D'ailleurs, lorsqu'il sent le vertige lui prendre au ventre lorsque la fille qui l'aime pose la main sur lui où ses lèvres sur les siennes, il n'y aura plus que cette demoiselle qui pourra alors compter. Sérieux et ambitieux, il se donne les moyens de réussir ce qu'il entreprend et autant il peut être fier, orgueilleux et même parfois fait et vaniteux, il n'empêche que son don pour la séduction est largement affaibli lorsqu'il est face à une fille qui lui plait un peu trop. Il se refermera comme une huître, une carapace pour ne pas souffrir sans doute, qu'il est bien difficile de percer si l'on n'en a pas la volonté. Celle qui aura son cœur, sera la fille la plus choyée qui soit, veillant toujours à ce qu'elle ait tout ce qui lui fasse plaisir.
Lorsqu'il a quelque chose à dire, ou lorsqu'il a envie de le dire, il ne s'encombre pas spécialement d'un égo surdimensionné, il le dit sans penser aux conséquences...Non, ce n'est pas les conséquences qui le gênent et qui le tracassent, c'est simplement la façon de dire les choses. Il est très cynique et passera d'abord par des petits sous-entendus avant de dire franco ce qui lui passe par la tête. On peut également dire qu'il n'est pas de nature très bavarde. Non pas qu'il ne veuille pas parler, mais pour la simple et bonne raison, qu'avant de prendre la parole pour dire des bêtises et commencer à s'étendre sur sa vision de a vie, de ce qu'elle est et de ce qu'elle devait être, il préférera attendre de voir à qui il a à faire.
Au premier abord, il peut paraître froid et distant, mais lorsqu'on comprend son mode de fonctionnement, il peut se montrer être très tendre et très attentionné. Fier et arrogant, vous aurez souvent cette impression qu'il vous regarde de haut, qu'il vous toise et qu'il se sent supérieur à vous...si vous creusez sous le vernis, vous vous rendrez compte qu'il n'est pas comme il parait, mais que son paraître lui plait
Manies : Le jeune homme a pas mal de petites manies.
Par exemple, lorsqu'il n'arrive pas à cacher l'un ou l'autre de ses sentiments, il se souviendra comme il était agréable lorsqu'il était tout bébé, de mettre ses doigts en bouche. Enfin, la, il a des dents et rongera ses ongles sans aucun remord. Une autre de ses manies, qui n'en est pas vraiment une, est que lorsqu'il parle, il se sent obligé d'ajouter les gestes à la parole, de plus, bien qu'il ait 5 doigts comme tout le monde, certains de ses gestes ne sont réalisés que par 2 d'entre eux. Par exemple, s'il fait un signe de la main, deux doigts lui suffiront, s'il vous demande de venir, 3 seront parfaits. Il a aussi cette manie désagréable de se manger l'intérieur des lèvres lorsqu'il réfléchit et, d'arquer un sourcil quand, d'aventure, on le contrarierait.
résuméKyle est le fils d’un ambassadeur. Deuxième d’une famille de trois enfants, il n’a jamais été proche de ses parents. Il ne l’ait que de son frère et sa sœur qu’il aime plus que tout. Il vit dans le luxe que lui procure l’argent de son père. Passant de fille en fille il s’est découvert récemment un intérêt pour les hommes mais n’est pas choqué par lui-même, son frère étant homosexuel, la vue de deux hommes est naturel pour lui. Sa sœur est comme un joyau dont il prend soin. Il serait capable de tout pour elle.
Parents : Né dans une noble famille dont la renommée n’est plus à refaire, Kyle n’a pas toujours su trouver sa place. Son père, Sergueï Allington, est un homme politique. N’en demandez pas plus, car il ignore totalement ce que fait exactement son père de ses journées. Mais une chose est certaine, cela rapporte beaucoup. Sa mère, Maria Allington, s’est bien souvent trouvée dans le même cas que son fils. Le père de famille ayant une place bien plus importante que toutes les autres au sein même du foyer, il fût parfois difficile pour elle de s’imposer. Ce qui devint d’ailleurs quasiment impossible au fil des années, jusqu’à la rendre totalement passive quant à son rôle de mère. L’unique chose que Kyle ne pourrait jamais reprocher à ses parents, est la naissance de sa petite sœur, Analynn, qu’il chérie tout particulièrement. Il a tissé avec elles de forts liens qui se sont dégradés lorsqu’ils devinrent tous deux des adultes. Sa possessivité étant toujours la cause de tout.
Pourtant, tout prédestinait cette famille à être heureuse. Ils avaient tout, le succès, l’argent, la gloire, une belle maison en Russie. Pour comprendre la raison de cette déchirure, il faut pour cela revenir quelques années en arrière, bien avant la naissance de Kyle, Nolann et Analynn. Sergueï et Maria étaient deux adolescents parfaitement normaux, bien que le jeune homme ait depuis toujours baigné dans l’aristocratie. En revanche, le passé de sa mère ne fût pas le même. Loin d’être née avec une cuiller en argent dans la bouche, la petite fille avait grandi dans un petit village au nord de Moscou. Autant dire, qu’en apparence, tous les différenciait. Mais une fois en âge de pouvoir prendre ses propres décisions, Maria quitta le cocon familial pour se rendre en ville, à Moscou, où de plus grandes choses l’attendaient. C’est en entrant dans une grande école de mode qu’elle fit la rencontre de Sergueï, qui lui, étudiait le commerce international. Une romance s’ensuivit. Plusieurs années de concubinage. Un amour charnel et passionné qui les mena très rapidement au mariage. Les mœurs de ce pays restant très arriérées et religieuses, ils se devaient de sceller leur union lorsque Maria remarqua sa grossesse. Ayant rompu tout lien avec sa famille depuis son départ, elle se retrouvait désormais seule, son mari étant son seul soutien. Elle n’eut d’autre solution que celle de se laisser entretenir par Sergueï quand Nollan vint au monde, bien que sa vision de la vie moderne et actuelle fût toute autre. Femme au foyer elle demeura, sans jamais reprendre ses études dans la mode, qui auraient pu la mener loin. Une autre vie vint bouleverser quelques années leurs quotidien. Kyle était né. Mais Maria n’était pas heureuse. Elle ne vivait pas sa vie. Ainsi, elle suivit son mari à travers le globe, s’installant entre Moscou et Singapour. Leur vie resta bien longtemps instable. Les déménagements faisant partis de leur lot quotidien. Mais depuis deux ans et des poussières, ils vivent à San Franscisco. Une grande ville qui bouge, mais où Maria ne se plaît pas franchement. Les disputes sont multiples entre le couple, mais Kyle n’est plus là pour le voir. Dès son arrivée en ville, il s’est installé dans un appartement dont le loyer est financé par son père.
Que dire sur ses relations avec ses parents, en règle générale ? Moyennes, que très moyennes. Il ne s'entend pas particulièrement bien avec son père, qui lui parle sans cesse de l'image de leur famille. Quant à sa mère, les seules fois où un dialogue semble être instauré, le seul sujet de conversation est l’argent... Vous voyez le topo. Mis à part avec sa sœur et son frère, Kyle n’est pas complice avec les membres de sa famille.
Anecdote(s) de l'enfance : La venue de sa soeur a sûrement été pour lui la plus belle chose qu'il soit arrivé dans sa famille désunie. Il a toujours cherché à prendre soin d'elle. Même à l'âge de quatre ans – lorsque Analynn venait tout juste de voir le jour - le petit garçon ne cessait de demander à sa mère de pouvoir la porter, lui donner le biberon et la bercer afin qu'elle s'endorme. Il en venait parfois à critiquer l’investissement de ses géniteurs quant à leurs rôles de parents. Imaginez donc la scène. Un môme de quatre ans qui dicte la vie et le bienfait de certains gestes à ses propres parents. Comme vous pouvez vous en douter, Analynn avait une place primordiale dans sa vie. Pourquoi en serait-il autrement s’il venait à critiquer son père sur le manque d’affection qu’il donnait à sa petite sœur ? Il fallait dire aussi, que même pas plus haut que trois pommes, Kyle avait toujours su ce qu’il voulait pour lui ainsi que pour ses proches. N’oublions pas qu’il est l’aîné d’une famille importante. Ajoutez à cela une éducation stricte, et vous aurez une personne droite, ayant de bonnes valeurs.
« C’est pas comme ça qu’il faut la tenir ! Cria soudainement le petit garçon à l’égard de sa mère.
Tu fais tout mal d’abord !Maria, la mère de Kyle, tenait effectivement son enfant d’une drôle de manière. Un verre de whisky dans une main et le bébé dans l’autre, elle semblait plongée dans une grande discussion avec d’autres femmes issues du même milieu qu’elle.
Ne me parles pas sur ce ton Kyle ! Rétorqua-t-elle d’une voix faussement intimidante afin de paraître une bonne mère aux yeux de ses amies hypocrites.
Montes donc dans ta chambre, je ne veux plus te voir jusqu’au dîner. Elle détourna son attention de son fils pour continuer sa conversation Ô grandement intéressante.
De son côté, Kyle profita de ce moment de diversion pour se saisir de sa sœur. A la simple force de ses petits bras, il parvint à l’attraper. Autant dire que sa mère devait émettre une faible pression sur le corps de l’enfant, car elle était à deux doigts de basculer. Devant les yeux écarquillés d’une dizaine de femmes élégantes, le petit garçon s’enfuit en courant dans la vaste demeure, ses pas provoquant de bruyants claquements sur le sol en bois.
Plusieurs minutes s’écoulèrent sans que personne ne vienne lui retirer sa petite sœur. Assis au milieu d’un cercle d’arbustes, Kyle se sentait à l’abri. Mais une fois les femmes de bonnes familles parties, sa mère partit à leur recherche. Elle ne mit guère de temps à les trouver, connaissant déjà toutes les cachettes préférées du gamin. Après avoir repris possession de son bien – car oui, il s’agissait bien d’un objet et non d’un être humain – la jeune femme envoya sa main en direction de la joue déjà rosie de Kyle, celle-ci claquant fortement dessus. C’était son quotidien. Une mère incapable de s’occuper de ses enfants, si perturbée et mal dans sa peau, qu’elle faisait passer son chagrin dans l’alcool au détriment de ses devoirs.
Anecdote(s) de l'adolescence : L'argent ne fait pas tout. Kyle le croit réellement, contrairement à son père. Tant de familles aisées se déchirent par manque d'attention et faute de temps accordé à chaque membre. Il ne le sait que trop bien, c'est pour cette raison qu'il s'est investi très jeune pour sa famille et essentiellement auprès de sa sœur. Les billets avaient beau passer et repasser entre ses mains, cela ne changeait rien à sa vision des choses. Sa mère, bien que parfois maladroite, était aimante. Elle aimait ses enfants, c'était un sentiment parfaitement normale, non ? Néanmoins, elle avait toujours éprouvé une difficulté à laisser aller ses émotions, à prendre des initiatives, à montrer à ses enfants qu'elle était présente. Leur père portait la culotte, cela ne faisait aucun doute. Ce qui, probablement, laissait dans l'ombre leur mère. Famille aisée rimait forcément avec « vaste demeure ». Et vaste demeure allait de pair avec « personnel d'entretien ». Oh oui, Les Allington avaient sous leurs ordres une quantité suffisante de domestiques pour n'avoir rien à faire eux-mêmes. Le rôle de mère y passait souvent à cause de cela. Cette dernière n'aimant pas les responsabilités, elle laissait que trop souvent ses enfants sous la tutelle d'une autre femme. Avec le temps, Kyle éprouvait envers elle plus de la pitié que de la colère.
Toujours en contradiction avec sa famille, Kyle aimait faire le contraire de ce qu’on lui demandait. Et sa crise d’adolescence n’arrangea pas le moins du monde la situation. Lorsqu’il n’avait que 17 ans, un événement majeur vint bouleverser son existence. Alors qu’il n’avait pas l’autorisation de sortir, il s’octroya seul le droit d’aller faire la fête avec ses amis, qui ne vivaient pas sur la même planète que ses parents, qui ressemblait étrangement à une Terre en forme de dollar. Après s’être habilement évadé par la fenêtre de sa chambre, il rejoignit sa bande de potes à quelques mètres de chez lui. Ayant trop de fois reçu des ordres, Kyle avait ressenti le besoin de faire ce qu’il souhaitait, quand il le voulait, pour changer. Et fréquenter aussi les personnes qu’il voulait. Ses amis du moment ne représentaient pas la meilleure fréquentation que des parents aimeraient que leurs enfants aient. Défoncés à la cocaïne chaque soir, ils prenaient tout de même le volant, au risque de tuer chacun des passagers. Et cette nuit-là, le pire arriva. Lui aussi avait snifé cette petite poudre blanche et n’avait pas mesuré le risque qu’ils prenaient tous à utiliser la voiture pour rentrer. Roulant en pleine campagne, le conducteur, âgé de seulement 19 ans, percuta un arbre de plein fouet, à une vitesse excessive de 180 km/h. Le passager avant, le conducteur, ainsi que la personne assise à ses côtés – qui était en réalité sa petite amie – périrent dans l’accident. Excepté lui. Une vie allait être chamboulée, une culpabilité grandissante allait voir le jour.
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