Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

Partagez
 

 (M) EVAN PETERS. réservé.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Anonymous
Invité


(M) EVAN PETERS. réservé. Empty
MessageSujet: (M) EVAN PETERS. réservé.   (M) EVAN PETERS. réservé. EmptyJeu 26 Jan - 18:31

JAKE AU CHOIX AU CHOIX

20 ans, ou autour ★ Américaine de préférence ★ Hétérosexuel, ou bisexuel ★ Groupe au choix, je pensais à brainshakers ★ Occupation au choix
Avatar non négociable ★ Prénom non négociable
Libre Réservé PRIS



Jake est quelqu'un de cynique, sarcastique, un peu moqueur, mais attachant. Fidèle et droit, il n'hésite pas à se battre pour ceux qu'il aime. Il est allé en hôpital psychiatrique à ses seize ans (ou avant si vous voulez) et en est sorti il y a quelques mois. Pour l'histoire, je laisse libre car Lucy ne sait rien ou presque de son passé.



C. Lucy Duncan
tout est dans ma fiche, en voici quelques extraits. ♥️

Étouffée, oppressée. Un sentiment de malaise constant et une envie de fuir. C'était ce que je ressentais tous les jours à Violet's pension, l'hôpital psychiatrique où j'ai été placée. Je ne pensais qu'à une chose, une seule : partir et retourner chez moi, tranquillement. Oui, j'allais mal, et alors ? C'était mon problème, pas le leur. J'aimais pas la façon que les médecins avaient de vouloir m'interroger tout le temps sur tout, ces fouineurs. Le pire de tout, c’est que je n'avais même pas à me plaindre ! Franchement. L'hosto était génial, spacieux et confortable, les patients étaient pas trop chiants et le personnel adorable. Pourtant, je me comportais en vraie enfant gâtée, en petite peste, envoyant chier tout le monde, toujours la mine renfrognée. Je me confiais jamais aux psys. Pour quoi faire, leur dire que j'étais orpheline et que, n'étant pas encore majeure, je vivais en hors-la-loi dans ma propre maison? Je voulais pas aller en foyer moi. Déjà que j'étouffais à l'HP, ça aurait été pire. Tout le monde, surtout les psys, voulaient savoir l'origine des cicatrices qui ornaient mes poignets, comme si ils ne s'en doutaient pas. Si ils croyaient que j'allait leur dire que j'étais anéantie à cause d'un mec qui m'avait larguée sans raison, que j'aimais toujours soit dit en passant alors que ça faisait presque deux ans déjà, et qu'en plus ma hippie de mère est morte en me laissant toute seule, ils rêvaient. J'allais deux fois par jour chez le psy, une à 10h et une à 18h, ça allait mais comme je parlais pas, c'était.. relativement long. Mais j'avais pas à me plaindre, par rapport à d'autres. Jake, par exemple, il allait chez le psy presque quatre fois par jour. Tiens, parlons en de lui. Jake, c'était un peu mon seul pote dans cet hosto de merde, le meilleur en fait. Un jour, le deuxième jour de mon internement en fait, un mec est venu et m'a cherché des noises. Il a commencé à m'empoigner par le col, et il était costaud le type. Bien sûr, j'avais pas l'intention de me laisser faire, je me débattais comme une furie, mais mes pieds ne touchaient déjà plus le sol alors qu'il me soulevait. Je commençais un peu à paniquer, aucune infirmière dans les parages. C'est alors que Jake surgit, comme un fantôme. Je l'avais pas vu arriver. Il faisait une tête de moins que le type, et je me demandais même si il était pas plus petit que moi, mais son regard... On aurait dit qu'il lançait du feu. D'une voix froide, il a décrété au type : « Lâche la, Nick. Immédiatement. » « Oh, ça va, je voulais juste m'amuser un peu avec la nouvelle, Jake ! » Rétorqua l'autre type d'un ton bourru. Mais la brute se ravisa bien vite, dès que Jake croisa les bras, son regard encore plus ardent. Il n'avait rien fait, et pourtant je savais que le type qui me tenait par le col de mon chemisier flippait grave. Impressive. Il me lâcha d'un coup, et je tombai sur le sol sans rien dire. L'autre type s'est barré en courant, et moi je restait par terre, hébétée. Jake m'a tendu sa main et m'a aidé à me lever, je le remerciai dans un murmure en reprenant mes esprits. C'était une des premières fois où je restais presque sans voix devant quelqu'un. En fait, la seule fois où ça m'était arrivé, c'était devant Hyde, le jour où il m'a larguée. J'en arrivais toujours à penser à celui là, décidément, mais sur le coup je me suis concentrée sur ce mec un peu chelou qui me souriait timidement. « Désolé, ça arrive pas souvent d'habitude. Nick est pas méchant, juste taquin. Et bienvenue à Violet's, la rouquine. » Lol, rouquine quoi. Il commençait bien celui là. Ma voix est revenue en un rien de temps. « Déjà, tu éviteras l'allusion à mes cheveux avec le plat de spaghetti que tu te trimbales sur la tête. Et moi, c'est Lucy. » Je perds jamais le nord, enfin presque jamais. Jake s'est contenté d'un rire franc, pour sa part. « J'sens que j'vais bien m'amuser avec toi, rouquine. » Bref, c'est comme ça qu'on a fait connaissance, lui et moi. C'est vite devenu un ami, à la pension, on était toujours fourrés ensemble à se charrier, mais au fond on s'adorait comme pas possible. Il s'est jamais montré perturbé en ma présence, d'ailleurs je savais même pas pourquoi il était là. Quand je demandais au personnel de l'hôpital, ils se bornaient à me répéter que c'était sous secret professionnel, et lorsque je lui demandais, il se renfrognait et ne me parlait pas pendant quelques heures. Alors je ne ramenais plus le sujet sur le tapis, car je pouvais plus me passer de sa présence. Mais je vous l'avoue, ça me frustrait. J'ai toujours voulu tout savoir, puis il a progressivement tout su de moi, lui. Comment j'étais encore amoureuse de Hyde, comment ma mère est morte, ma dépression, mes visions. Il n'avait pas l'air de trouver ça bizarre, il m'écoutait. Ce que moi je trouvais bizarre, c'était la facilité avec laquelle je me confiais à lui, la rapidité avec laquelle je m'attachais à lui. D'habitude, je me lie pas aussi facilement avec les gens, mais lui... Il était différent, en fait. Et peu importe le fait que je ne savais pas pourquoi il était interné avec moi, je me sentais bien en sa présence. Il était mon soutient à Violet's. Mon seul soutien, en fait. Au bout de deux ans là bas, je sentais que je commençais à aller mieux, sûrement grâce à Jake d'ailleurs. J'avais plus aucun symptôme de dépression, je ne me scarifiais plus. Bon, je vous mentirais si je vous disais que j'étais dans un état de béatitude constante, il m'arrivait souvent de rechuter, mais en général ça allait. Mon corps et mon esprit cicatrisaient. Mais j'avais beau supplier, faire des crises, faire les yeux doux aux médecins, rien à faire : ils ne voulaient pas que je sorte. Ils étaient persuadés que j'allais toujours mal, à cause de ma mine sans arrêt triste et de mes cernes omniprésentes. Vous voulez savoir la vérité ? La vérité, c'est que si j'étais crevée H24, c'était parce que Jake et moi on passait la nuit sur les toits du bâtiment, à refaire le monde. Comme on était toujours chez les psys le jour, fallait bien qu'on se voie de temps en temps, et la nuit c'était notre moment à nous. De ma chambre, on accédait facilement au toit, et on voyait les étoiles quand le ciel était clair. C'était bien. Jake hochait la tête quand je lui disais sans cesse que j'allais mieux, que j’enrageais de rester dans cet endroit sans raison aucune. Il savait que je voulais partir à tout prix, et j'avais l'impression que ça l'attristait, mais il ne le montrait pas. Ou en tout cas je ne le remarquais pas. Un soir, alors qu'on était encore sur le toit, j'étais vraiment à bout de nerfs, je lui ai confié une chose que je planifiais depuis des mois déjà. Alors que j'avais ma tête sur son épaule, je me suis relevée brusquement, les yeux brillants. « Jake ? » lui ai-je demandé. « Mmh ? » a-t-il répondu, un peu endormi. Faut dire qu'on était silencieux depuis quelques minutes, et que cela faisait depuis la tombée de la nuit qu'on était grimpés, le sommeil commençait à venir. Mais j'étais pas fatiguée. Je n'avais qu'une idée en tête. « Demain soir, je m'évade. »


(M) EVAN PETERS. réservé. Tumblr_lul0plCBHX1qa8ts9o1_250(M) EVAN PETERS. réservé. Tumblr_lul0plCBHX1qa8ts9o2_250

Je pensais qu'il serait heureux pour moi, qu'il me questionnerait sur le moyen que j'avais trouvé pour m'enfuir. Jake aimait bien tout savoir sur moi, en fait. Pourtant il était pas du genre bavard avec les autres, mais avec moi il parlait des heures. Peut être qu'en bonne pipelette, je l'avais converti, allez savoir. En tout cas, à ce moment là, ses sourcils se haussèrent et il avait l'air contrarié, presque triste. Je vous avoue que ça m'a quelque peu déstabilisée. « Quoi ? » lui ai-je donc demandé, étonnée. Non pas que je doutais de ma décision. J'étais vraiment déterminée. « J'veux dire... Lucy, t'es sûre de vouloir faire ça ? » Sa voix ne tremblait pas, il avait pas l'air perturbé. J'ai repris le cours de ma pensée. « Tu sais que ça fait des mois que je veux me barrer. J'en peux plus, merde ! Je dois partir. Et crois moi, je partirai. » Sous entendu, avec ou sans ta permission quoi. Je comptais bien m'en aller de cet endroit, et tant pis si il était pas d'accord. Il se leva à son tour, et me regarda froidement, très froidement. En fait, il avait le même regard que celui qu'il avait lancé au mec qui m'avait empoigné, le jour où on s'est rencontrés, celui qui lançait des éclairs. Je vous avoue, c'était assez flippant quand on le fait sur vous. « Ok. Fais ce que tu veux alors. J'en ai rien à foutre, pars. » et il me contourna, puis entra à l'intérieur du bâtiment, sans dire un mot de plus. Et j'avais pas l'intention de le retenir. Ok, il me décevait, et j'avais l'impression de perdre mon meilleur ami, une partie de moi même depuis deux ans. Mais il aurait dû me comprendre, et si il ne pouvait pas, tant pis. Tout était prêt pour mon évasion. Une fois dehors, je m'étais promis de revenir voir Jake au moins une fois par semaine à Violet's, la nuit de préférence. C'était très facile d'entrer et de sortir, il faut dire que la pension était pas très sécurisée. Vous pensiez quoi ? J'avais plus de parents et pas de famille, j'étais allée là contre mon gré. J'allais pas payer un truc hors de prix juste pour vivre un calvaire. Quoi qu'il en soit, mon plan était tout prêt. Le lendemain vers 21 heures, je m'en irais. PLUS TARD, LE FAMEUX LENDEMAIN VERS 21H. Ça y'est, tout était prêt. J'avais fait mes bagages, ils étaient sous mon lit. J'avais étudié le plan de la clinique, c'était facile de sortir. Tout le monde était en visite médicale, à la cafétéria ou même couché, et Jake avait son rendez vous avec le psy à cette heure là. Non pas que j'aurai eu le risque de le croiser, je ne l'avais pas vu depuis qu'il s'était barré du toit, la nuit précédente, sûrement qu'il m'évitait. J'attendais sur mon lit qu'il soit 21 heures pile, j'étais précise et ponctuelle dans ces cas là. Il le fallait pour être discrète. J'avais déjà enfilé mon manteau et mes grosses boots, je m'étais préparée à marcher et à faire du stop. 21 heures sonnèrent à la petite pendule qui était accrochée en face de mon lit. Je me suis levée, vérifiant que je n'avais rien oublié. Sur ma table de nuit, une photo de moi et Jake, datant d'il y a un an. J'hésitais à la prendre, était-ce une bonne idée? Alors que je me posais cette question, on toqua trois coups discrets à la porte. Direct, j'ai sursauté. Le cadre est retombé sur ma table de nuit, heureusement pas brisé, et je me suis grouillée d'enlever mon manteau et de le fourrer sous mon lit, puis je me suis assise, cachant mes pieds avec la couverture. « Entrez ? » ai-je dit d'une voix un peu tremblante. Merde, je me trahissait moi même, ne plus je devais rougir jusqu'aux oreilles, pour changer. En voyant Jake apparaître dans la pièce, je ne put étouffer un soupir de soulagement, néanmoins la colère repris le dessus. Ça faisait quand même une journée entière qu'il ne m'avait pas adressé la parole, et mine de rien, c'était long. « Alors, tu viens me faire tes adieux ? » Un sourire ironique se dessina sur mon visage. J'étais vexée, certes, mais j'étais aussi contente qu'il soit venu. « J'dois te dire un truc. » Je haussai les sourcils, et m'assit mieux sur mon lit. « Ben, je t'écoute, accouche. » Je m'attendais à un truc du style que je devais pas partir, que c'était pas raisonnable et tout, mais en tout cas, pas du tout à ce qu'il allait prononcer. Il prit une grande inspiration et brusquement, je remarquai qu'il était au bord des larmes, comme si me parler était un déchirement intérieur, super. « Je t'aime. Voilà, je l'ai dit. » Boum, le choc, je vous raconte même pas le truc. C'était genre trop inopiné, mais j'étais à des kilomètres de deviner qu'il allait me déclarer sa flamme. Jake, c'était mon meilleur ami. Enfin, je supposais. Peut être que j'étais amoureuse de Jake, j'en savais rien bordel ! Je me suis jamais posé la question de savoir si je l'aimais ou pas, pour moi c'était encore Hyde, Hyde, Hyde. Il sortait pas de ma tête celui là, j'arrivais décidément pas à l'oublier, même dans un moment pareil, j'étais vraiment incorrigible. En tout cas, mon premier réflexe, ça a été de rire. C'était nerveux, on y pouvait rien, n'empêche que si lorsqu'il est entré j'étais rouge tomate, j'osais même pas imaginer ma gueule à cet instant précis. Je devais être vermillon comme des semelles de godasses Louboutin. « Je... J'sais pas vraiment quoi dire, enfin. » Je me suis levée et ai commencé à faire les 100 pas dans la pièce. J'étais obligée sinon j'allais trembler ou fondre en larmes, et ça allait pas être joli à voir. « Je veux dire, tu sais que j'ai encore des sentiments pour Hyde. » Et je m'attendais encore moins à ce qu'il s'est produit à ce moment là. Il m'a pris par le bras, et paf, il m'a embrassée, comme ça. Ça pour une surprise, je crois que j'avais eu mon quota pour 30 ans au moins. Le pire, c'est que je l'ai laissé faire. Enfin genre je l'ai pas repoussé tout de suite. C'était... C'était bien, en fait. Pas le genre désespéré nan, c'était même plutôt tendre, enfin en clair ça m'a plu quoi. Bon, voilà, Jake est un dieu du baiser, vous êtes contents ? Ca voulait pas dire que je l'aimais pour autant, hein. Si ? Roh, dans ma tête ça s'embrouillait grave. Quoi qu'il en soit, y'a bien eu un moment ou on a du s'arrêter. J'étais tellement étourdie que je saurais pas vous dire si je l'avais repoussé ou si je voulais juste reprendre mon souffle avant de continuer, mais en tout cas il s'est remis à parler, donc on a pas eu l'occase. C'était peut être mieux ainsi. « Ce Hyde dont tu m'as tant parlé n'était rien qu'un beau salaud, et faut t'y faire, Lucy. Y'a tellement de gens mieux que lui. » Des gens comme lui, c'est ça ? j'avais envie de lui rabattre son clapet, comme je le faisais souvent. Mais c'était pas le moment de dire ça alors que j'étais grave dans le brouillard, et une conne de larme s'est mis à rouler sur ma joue sans que j'ai pu la retenir. J'ai voulu l'enlever, mais il s'en est chargé avant moi. « Ecoute. Je te demande pas de m'aimer en retour, je comprends. Je veux juste que tu restes. Restes encore un peu ici, ok ? Pour moi. » Je savais même pas pourquoi je hochais la tête en signe de réponse positive, moi qui était aussi déterminée quelques minutes auparavant. Ce mec était hypnotique ou quoi ? Il arrivait à me faire changer d'avis, moi, une des meufs les plus têtues de la terre. Si mes proches avaient vu la scène, ils seraient en train de lui jeter des roses. Mais y'avait que nous dans ma chambre, à la clinique. J'avais même plus envie de partir, tout à coup. Il m'avait fait rester, c'était genre une victoire, il pouvait limite le marquer sur son CV. « Bien. Bon alors, j'te laisse... » Il s'éloignait vers la porte, le tête basse. « Jake, tu veux pas dormir avec moi ? » Croyez pas que c'était une invitation ou quelque chose de ce genre, pas du tout. C'était juste que si il s'en allait, je sentais que j'allais me barrer, vraiment. C'était peut être mieux pour tout le monde si il restait. Il se retourna et bizarrement, je le vis rire. « Ok. Si tu promets de pas me violer dans mon sommeil ! » Je levai les yeux au ciel, souriant néanmoins. C'était bien le genre de Jake de faire ces blagues. Faut croire que rien n'avait changé entre nous, finalement. « Eh, c'est toi qui est désespérément et éperdument amoureux de moi, j'te rappelle. » Il me tira la langue et s'affala sur mon lit, en mode j'suis-chez-moi quoi, normal le gars. « Tss, allez. Viens te coucher, grognasse. Mais avant, sors ton manteau de dessous ce lit, tu vas le froisser.» Il était même pas censé avoir vu. Si ça avait été une infirmière qui serait entrée à sa place, quelques minutes plus tôt, m'aurait-elle grillée également ? Pas sûr. Mais Jake il avait une espèce de pouvoir surnaturel pour deviner les choses. Plus celui d'apparaître comme un fantôme, celui de paralyser les gens avec ses yeux, et surtout celui de me rendre meilleure, ça faisait beaucoup.



Au final, je suis restée à Violet's jusqu'à mes 19 ans, quand ils se sont enfin décidés à me lâcher. J'étais majeure, enfin pratiquement, donc c'était plus pratique, j'avais pas besoin de famille pour me loger. Tant mieux, j'avais pas de famille, mais j'avais une baraque. ma mère m'avait laissé la maison dans son testament, j'ai pas de loyer à payer ni rien, c'est déjà ça. La maison était un peu délabrée au bout de trois ans sans entretien, mais elle a tenu le coup. J'ai passé mes exams en candidat libre, tous réussis haut-la-main. J'emmerde mes anciens profs qui disaient que je n'étaient qu'une bonne à rien, qui fait des études graphisme maintenant ? C'est Bibi. J'ai continué à rendre visite à Jake, même après ma sortie, quasiment 2 fois par semaine. Si nous nous sommes encore embrassés ? Ca ne vous regarde aucunement. En tout cas, il est sorti de Violet's y'a quelques mois, lui. Il a pas de famille non plus, faut croire, parce que financièrement il est plutôt instable, le pauvre. Ca fait mille fois que je lui répète qu'il peut venir habiter chez moi, si il veut, mais il refuse. J'sais pas pourquoi. Après tout, on a vécu sous le même toit, si on peut dire, pendant trois ans, c'est pas comme si on se connaissait pas. Puis avoir des gens chez moi, j'ai assez l'habitude. En fait, il m'a dit une fois que si il refusait d'emménager chez moi, c'est parce qu'il m'aimait toujours. J'avoue que y'a une sorte de malaise par rapport à ça. Ca a pas vraiment évolué depuis le jour où il m'a convaincue de pas fuguer, en fait. On est toujours gênés comme des gosses, mais notre amitié résiste malgré tout. Oui, c'est compliqué. En tout cas, il reste une des personnes les plus importantes de ma vie. Voire la plus importante, puisque ma vie est pas super remplie niveau relations. Depuis que je suis sortie, j'ai jamais eu de vrai copain, que des coups d'un soir, et ça continue d'ailleurs. Je pense que c'est aussi une des raisons pour lesquelles Jake refuse de venir à la maison. J'avoue que je serai pas étonnée si je ramenais un mec et qu'il lui cassait la gueule en le voyant, même si je m'interposerais bien sûr. Mais, à part ça, j'ai repris une vie normale.

Tout est dit. Si tu choisis mon scénario (mais bon, il est réservé Arrow) j'te baise.
Crédit, tumblr et janelevyfans./div>
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité


(M) EVAN PETERS. réservé. Empty
MessageSujet: Re: (M) EVAN PETERS. réservé.   (M) EVAN PETERS. réservé. EmptyJeu 26 Jan - 18:43

J'attends ma partie de baise alors (M) EVAN PETERS. réservé. 3016552888
J'suis là mais tu t'es barré alors j'te fais la tête sale bite. (M) EVAN PETERS. réservé. 2537877045
Sinon, JE T'AIME (M) EVAN PETERS. réservé. 623468595
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité


(M) EVAN PETERS. réservé. Empty
MessageSujet: Re: (M) EVAN PETERS. réservé.   (M) EVAN PETERS. réservé. EmptyJeu 26 Jan - 18:54

Ma maman m'a grondé, puis j'assume parce que j'ai mangé un putain de gratin de pâtes.
Et j'te baise toujours autant, et on va vire une folle histoire nous deux. (M) EVAN PETERS. réservé. 2474380249
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité


(M) EVAN PETERS. réservé. Empty
MessageSujet: Re: (M) EVAN PETERS. réservé.   (M) EVAN PETERS. réservé. EmptyJeu 26 Jan - 19:27

Sale grosse, moi j'ai mangé des spaghettis (et un jour faudra que tu m'invites à bouffer chinois). colgate
On va tout déchirer et s'aimer à en perdre nos seuls neurones (M) EVAN PETERS. réservé. 574247201
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité


(M) EVAN PETERS. réservé. Empty
MessageSujet: Re: (M) EVAN PETERS. réservé.   (M) EVAN PETERS. réservé. EmptyJeu 26 Jan - 20:22

déjà que chez toi, y'en a pas beaucoup des neurones... Arrow
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé


(M) EVAN PETERS. réservé. Empty
MessageSujet: Re: (M) EVAN PETERS. réservé.   (M) EVAN PETERS. réservé. Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

(M) EVAN PETERS. réservé.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» (f) Gemma Arterton, réservé.
» (M) VICTOR NORLANDER. réservé.
» Evan ♣ Please by my friend
» (F) EVAN RACHEL WOOD. libre.
» (F) EVAN RACHEL WOOD. prise.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
THE CITY BY THE BAY :: Coffee Break :: Thanks For The Memories :: Version 1-